Votre site Web a-t-il un bon « sitelinks » sur Google ?
19 juin 2008Une job dans le référencement à Québec
4 juillet 2008Lorsque j’étais un jeune garçon, j’aimais aller à la maison de mes grands-parents pour fouiner et tenter de découvrir des trésors. Tout était prétexte à enquête : le garage, le vieil hangar, la cuisine et bien entendu le salon où se trouvait en permanence une pile de magazines. Parmi eux de nombreuses éditions du « National Geographic » que j’épluchais religieusement. Si à l’époque je ne comprenais pas trop le texte en anglais, c’était tout autre chose des photos magnifiques qui me faisaient réellement voyager dans des contrées éloignées et totalement inconnues de ma part. J’avais le bonheur de vivre une aventure voire un safari parfois, à travers les photos de personnages pittoresques et des paysages à couper le souffle. Quel effet saisissant pour l’imaginaire d’un garçon de huit ans ! Eh bien ce coup de foudre je l’ai vécu à nouveau avec Travel Muse.
En effet les photos sont exceptionnelles en qualité et en originalité. Il y a un souci d’émerveillement que l’on ne retrouve nulle part ailleurs sur les portails habituels. Mieux encore, les textes sont invitants tout en étant riche en informations utiles pour le voyageur. On y retrouve notamment des catégories de contenus répertoriées soit par thèmes, par activités ou par destination.
En plus de vous permettre de planifier et de réserver votre voyage, Travel Muse offre un outil original nommé « Inspiration Finder ». Il agit un peu comme une lampe magique d’Aladin qui vous permet d’ajuster vos goûts personnels de voyages avec ce que le marché a offrir en terme de prix, d’itinéraires d’activités, de temps de vol, etc. Vraiment cool !
Travel Muse se qualifie parfaitement dans la foulée des outils de recherche de « social media » de Web 2.0 et spécifiquement dans la catégorie verticale du voyage. C’est un outil au service du client et non l’inverse.
En terminant, jetons un coup d’œil sur cette vidéo du National Geographic décrivant le rite Inca du solstice d’été, question de voyager encore un peu…